Intrigue 01: murder party without party

Les soirées mondaines de Mme Dalladier, belle-sœur d’un certain Édouard Dalladier sont un événement à ne pas manquer. Toujours originales, toujours thématiques. Et elles attirent un beau monde retentissant.
Qui n’y a jamais été ? Voilà quelque chose de non négligeable, comme endroit où être vu. Ce n’est pas rien ! Il faut y être au moins une fois pour le comprendre.
Mais mieux encore. l’intéressant n’est pas la soirée, mais le dîner qui la précède où les invités sont triés sur le volet. Et ce soir là, c’était murder party chez elle.
La murder party avait tourné au dramer. Le cadavre, hypothétiquement vivant au début, était réellement mort à la fin.
Le coupable ? Nul n’a de certitude, mais on soupçonne le servant de Madame Dalladier, un jeune homme supposément bien dressé qui est porté disparu depuis cette soirée. Nul ne semble savoir où il est passé d’ailleurs...
Qui est la victime ? Un fonctionnaire emprunté pour l’occasion. Personne de bien important mais de quoi mettre la sécurité sur les dents…
La police locale se met à fouiller tous les recoins de la ville. Prenez garde en sortant de chez vous...



►L'information sera diffusée à la radio et dans le journal de la ville.
►Nous sommes à la fin de l'été et au début de l'automne 1929
►Vous pouvez demander des informations au staff si vous souhaitez vous lier de près, ou de loin, à l'intrigue. -Comme connaître le jeune Servant etc-.
►Vous pouvez avoir participé à la soirée en tant qu'invité -informes-en le staff encore une fois-

La nouvelle est tombée, le coupable a été arrêté. Grace aux efforts des forces de sécurité, le calme et la tranquillité sont de retour. Hier, le calme a été retrouvé lorsque Alphonse Garet a été pendu haut et court aux vues et sues de tout le monde, en place publique, devant le château de Neueschloss. Ses motifs ? Ils sont vagues. Ce fonctionnaire qui travaillait à l’attribution des servants auraient eu des démêlés avec la victime. Des démêlés qui auraient dégénérés et ce meurtre en serait la suite logique.
La pendaison était inévitable.
Et pourtant…
Pourtant le doute reste, le doute persiste. En effet, on parle de mensonge. On parle de complot. Qu’un fonctionnaire soit pendu, cela n’était jamais arrivé jusqu’à présent, après tout, les fonctionnaires décevant deviennent Servant. L’aurait-on pendu pour qu’il se taise et ne crie pas sur tous les toits qu’il n’a rien fait, et qu’il n’est qu’un bouc émissaire. Voilà ce que certains disent ou diront.
Y croyez-vous, à cette culpabilité ? Vous ne seriez pas le seul à en douter…

Reste à voir si quelqu’un chercherait à faire la lumière sur ces évènements…
A vous de voir !